Réseaux et partenaires
Partenaires scientifiques
Le Cerege, centre de recherche et d’enseignement de géosciences de l’environnement, est une unité mixte de recherche basée à Aix-Marseille dont les thèmes et objet d’étude principaux sont le climat, l’environnement durable, la Terre et les planètes, les ressources et réservoirs des hydrosystèmes. Par ses approches théoriques, méthodologiques et technologiques, le Cerege est un lieu de forte interdisciplinarité.
Le Laboratoire GéoSciences Réunion (LGSR) est une unité de recherche intégrée à l’UMR 7154 « Institut de Physique du Globe de Paris ». Leurs objets d’étude principaux sont les volcans.
Eco&Sols est une unité mixte de recherche de 70 permanents associant l’INRAe, l’IRD, Montpellier SupAgro et le Cirad. Les travaux conduits à Eco&Sols ont pour objectif d’améliorer la compréhension du rôle des organismes du sol et des plantes, ainsi que des interactions entre eux et avec leur milieu, dans les cycles biogéochimiques - cycles C, N et P principalement- au sein des sols et des agro-écosystèmes
: La plateforme GenoSol de l’UMR Agroécologie de l’INRAe de Dijon travaille autour de trois activités principales : un Conservatoire des Ressources Génétiques Microbiennes, une Plateforme Technique de caractérisation moléculaire du métagénome microbien, un Système d’Information sur la diversité microbienne des sols et de l’environnement.
Acteur de la filière canne à sucre de La Réunion, le centre de recherche, eRcane participe à l’accroissement de la production, à sa rentabilité et à sa pérennité, par une présence à l’avant-garde du progrès génétique et technologique.
L’unité mixte de recherche ÉcoSys étudie le fonctionnement des agro-écosystèmes, en prenant en compte les processus biogéochimiques, les flux de matière et d’énergie, ainsi que les fonctions des organismes isolés ou en interaction avec leur environnement. Les agroécosystèmes répondent au forçage externe, ce qui induit des actions techniques de la part de l'agriculteur (apports d'azote, pesticides, recyclage des déchets organiques, travail du sol, choix des variétés / espèces) pour atténuer ou contourner les contraintes permettant d'atteindre les objectifs de production.
L’unité mixte de recherche « sol agro et hydrosystème spatialisation » (UMR SAS) étudie les interactions entre l’agriculture et le milieu naturel par une approche intégrative et spatialisée des territoires ruraux. Nos thématiques principales portent sur les cycles hydrologiques et biogéochimiques (azote, carbone, phosphore) dans les paysages cultivés, ainsi que l’évaluation multicritère des systèmes agricoles. Nos recherches contribuent ainsi à élaborer des systèmes de production agricole durables, à améliorer l’aménagement de l’espace rural, à préserver la qualité de l’eau, du sol, de l’air et des paysages. L’unité est implantée à Rennes, Agrocampus Ouest, et à Quimper.
Le laboratoire de biotechnologie de l'environnement (LBE) à Narbonne mène des recherches qui visent à développer le concept de bioraffinerie environnementale ; cela consiste à traiter les sous-produits des activités humaines (déchets, résidus agricoles, effluents) et à les valoriser en ressources d'intérêt industriel (bioénergies, biomolécules, amendement organique) tout en minimisant leur impact environnemental et sanitaire.
Le laboratoire d’informatique et de mathématiques (LIM) de l’université de La Réunion travaille sur trois axes : (i) l’épistémologie et la didactique de l’informatique et des mathématiques, (ii) l’informaTique et les applications et (iii) les mathématiques.
L'université Cheikh Anta Diop (UCAD) est basée à Dakar. La faculté des sciences et techniques (FST) rassemble des équipes de recherche et de nombreux masters au sein desquels les chercheurs de l'unité participent à l'enseignement, à la formation et à l'encadrement des étudiants.
Le laboratoire national de recherches sur les productions végétales (LNRPV) de l’institut sénégalais de recherches agricoles (Isra), basé à Dakar au Sénégal, a une vocation transversale qui lui permet d’intervenir sur des problématiques pouvant intéresser l’ensemble des zones agro-écologiques du Sénégal. Il génère des connaissances, des techniques et technologies pouvant contribuer à lever certaines contraintes au développement agricole. Par ailleurs, il apporte son appui en prodiguant des conseils aux différents partenaires qui œuvrent dans le domaine du développement rural en général, et du développement agricole en particulier.